Changez votre eau, Changez votre vie
Secrétariat
0479/84.51.72

+32 479/84.51.72

Brussels
+32 490 39 75 95
Eau Kangen Belgique Team
pour vous aider.
Eau Kangen Team for all countries.
Certificats d'usine (ISO)

13485
(Pour un système de gestion complet de la conception et de la fabrication des dispositifs médicaux)
14001
(Système de gestion de l'environnement)
9001
(Système de gestion de la qualité)

Pour toutes vos questions +32 490 39 75 95


Entretien au sujet du pouvoir de guérison de l’eau
La cure d’eau : Un entretien avec le Dr. Batmanghelidj
A propos du Dr. Batmanghelidj
Le Dr. Batmanghelidj est né en Iran en 1913. Il a fait des études de médecine en Angleterre puis est retourné en Iran où il fut prisonnier politique pendant deux ans et demi à l’époque de la révolution iranienne. C’est en prison qu’il découvrit les pouvoirs de guérison de l’eau. À sa sortie de prison en 1982, il s’enfuit aux Etats-Unis où il consacra les 20 dernières années de sa vie à promouvoir les vertus de l’eau auprès du grand public.
Un rapport spécial de Mike Adams, journaliste de News Target
Les médecins font rarement la promotion des vertus curatives de H²O mais le Dr. Batmanghelidj a étudié les effets de l’eau sur le corps humain et a découvert qu’il s’agissait à la fois d’une des meilleures solutions pour soulager la douleur et d’une des meilleures thérapies préventives connues à ce jour.
J’ai été une des dernières personnes à interviewer feu le Dr. Batmanghelidj et c’est avec à la fois beaucoup de respect et d’étonnement que je l’ai écouté partager avec moi l’histoire de ses recherches et découvertes concernant « Le pouvoir de guérison de l’eau».
Lors d’une conversation d’une heure tout à fait fascinante, le Dr. B. nous explique :
- Pourquoi les « maladies » et autres affections communes sont en fait causées par la déshydratation.
- Pourquoi de nombreux docteurs utilisent des antihistaminiques qui régulent l’eau pour soulager la douleur.
- Comment il a découvert fortuitement les propriétés curatives de l’eau
- Quels ingrédients dans les boissons non alcoolisées épuisent les réserves d’eau du corps.
- Pourquoi la soif n’est pas un indice fiable en ce qui concerne la déshydratation
- Pourquoi il pense qu’on trompe le public à propos du SIDA
- Comment la déshydratation détériore le fonctionnement mental
- Pourquoi certaines organisations cherchent à tenir le public à l’écart des solutions de santé alternatives
- Comment le manque d’eau cause la dépression
- Pourquoi les boissons populaires actuelles ne peuvent servir de substitut pour l’eau

Découverte de la cure d’eau
Mike : Bonjour à tous, je suis Mike Adams de la société Truth Publishing et aujourd’hui je suis très heureux d’accueillir le Dr. Batmanghelidj, auteur de « l’Eau pour la Santé, pour la Guérison, pour la Vie ». Bienvenue à vous Dr. Batmanghelidj.
Dr. B : Merci beaucoup de m’avoir invité à votre émission et de me donner ainsi l’opportunité de partager mes opinions sur le futur de la médecine dans ce pays.
Mike : Je pense qu’il y a beaucoup de gens qui ont lu vos ouvrages. Les gens sont intrigués par l’idée que l’eau puisse être une thérapie, une substance qui soigne les problèmes du corps humain. Qu’en est-il de l’eau ? Comment en êtes-vous venu à réaliser que l’eau pouvait avoir des vertus curatives ?
Dr.B. : Et bien, c’est assez bizarre. Comme vous savez, je suis un docteur en médecine, médecin généraliste. J’ai étudié à l’École de Médecine de l’Université de Londres et j’ai eu l’extrême honneur d’être un des derniers étudiants de Sir Alexander Flemming, l’inventeur de la pénicilline. Je mentionne son nom de façon que vous compreniez que je me suis retrouvé vraiment immergé dans l’enseignement et la recherche médicale. Bien des années plus tard, j’ai dû donner 2 verres d’eau à quelqu’un qui était plié en deux de douleur abdominale du fait de sa maladie car je n’avais rien d’autre sous la main. Il ressentait une douleur atroce et l’eau a eu un effet miraculeux sur lui. Cela lui a apporté un grand soulagement, en trois minutes la douleur avait bien diminué et en huit minutes elle avait complètement disparu. Alors que juste avant il était plié en deux et ne pouvait plus marcher, il avait complètement récupéré. Et il a commencé à en parler autour de lui, très heureux, me demanda que faire si la douleur revenait ? Je lui dis : « Et bien, buvez davantage d’eau. » Puis j’ai décidé de l’amener à boire deux verres d’eau toutes les trois heures. Ce qu’il fit et ce fut la fin de ses ulcères en ce qui me concerne.
Mike : Comment les choses ont-elles évolué par la suite ?
Dr. B. : Cela m’a secoué car à la faculté de médecine, je n’avais jamais appris que l’eau avait le pouvoir de supprimer ce genre de douleur en fait. Et donc j’ai eu l’occasion de tester l’eau en tant que médication dans plus de 3000 cas similaires. Et à chaque fois, l’eau a prouvé qu’elle était une médication efficace. Je suis ressorti de cette expérience avec la compréhension que ces personnes étaient assoiffées et que la soif elle-même pouvait se manifester sous la forme de douleur abdominale à un point tel que la personne pouvait devenir presque à demi inconsciente comme j’ai pu le voir de mes yeux. Et l’eau les a remis d’aplomb à chaque fois.
Donc quand je suis venu aux USA en 1982, je suis allé à l’Université de Pennsylvanie où j’étais invité à continuer mes recherches et j’ai fait de la recherche sur les propriétés de l’eau en ce qui concerne le fait d’éliminer la douleur. Je me suis demandé comment il se faisait que l’industrie pharmaceutique insiste sur le rôle des antihistaminiques en tant que
médication pour ce genre de douleur ? L’histamine est un neurotransmetteur qui se charge de la régulation de l’eau et des programmes de gestion de la pénurie d’eau. Quand de la douleur se manifeste, cela indique un état de déshydratation.
Donc concrètement, le corps expérimente de la douleur comme résultat d’une déshydratation. Vous ressentez de la douleur à l’endroit où se situe la déshydratation. J’ai présenté ce concept très simple à une conférence internationale sur le cancer à laquelle j’étais invité en tant que conférencier, expliquant que le corps humain manifeste de la déshydratation en produisant de la douleur et que celle-ci est un signe de pénurie d’eau dans le corps, pénurie qui se trouve en fait être l’arrière-plan de la plupart des problèmes de santé dans notre société.
Si vous regardez ce que fait l’industrie pharmaceutique, vous vous apercevez qu’ils produisent un grand nombre d’antihistaminiques différents en tant que médication. Les antidépresseurs sont des antihistaminiques, les antidouleurs sont des antihistaminiques, d’autres types de médicaments sont directement ou indirectement des antihistaminiques. Suite à la publication de mon travail, le secrétariat scientifique de la troisième Conférence Internationale Interscientifique m’a invité à faire une présentation sur l’histamine à leur conférence en 1989 à Monte Carlo. Et j’ai fait cela et le fait que l’histamine joue un rôle de régulateur d’eau dans le corps a été compris. Malheureusement, cette information n’est pas transmise au grand public par la communauté médicale car cela ne génère pas de profits.
Dès lors, j’ai envisagé d’écrire directement pour le public de façon qu’il devienne directement conscient du problème sans avoir à passer par l’intermédiaire du médecin et c’est la façon dont j’ai élaboré toute mon information médicale pour le public. Bien entendu, j’ai publié largement pour la communauté scientifique mais personne n’a pris cette information à son compte. En fait quand, dans le cadre de l’Institut National pour la Santé (NIH), le Bureau de la Médecine Alternative a été créé, j’ai été invité à participer à sa première conférence mais après que la présentation des différents travaux et intervenants ait été faite, ma conférence a été censurée. Il y a donc une mouvance au sein du NIH qui cherche à fermer le couvercle sur le sujet pour que l’information ne soit pas disséminée car visiblement ils sont en faveur de l’industrie pharmaceutique et il est maintenant évident qu’ils sont payés par eux.
Mike : Je pense qu’il s’agit là d’une explication incroyable de ce qui s’est passé jusqu’à maintenant et je pense que c’est tout à fait correct d’affirmer que, d’une manière générale, l’industrie pharmaceutique et la médecine organisées ne veulent vraiment pas promouvoir auprès des patients quoi que ce soit de gratuit ou de quasiment gratuit. La lumière du soleil est disponible gratuitement, l’eau est disponible quasi gratuitement - seriez-vous d’accord avec moi pour dire qu’ils pensent que si les gens pouvaient guérir leur maladies et atteindre par eux-mêmes un meilleur niveau de santé, cela signifierait une diminution de leurs profits et de leur importance ?
Dr. B. : Tout à fait. C’est la raison pour laquelle j’ai crée une organisation appelée L’Association Nationale pour l’Honnêteté en Médecine. Parce que je pense qu’il est malhonnête, en fait criminel, de traiter une personne qui est simplement assoiffée en lui fournissant une médication toxique qui la rend malade et la fait mourir avant l’âge.
Mike : Pouvez-vous nous indiquer l’adresse internet de cette organisation ?
Dr. B. : Mon site Web se nomme http://www.watercure.com - de là vous pouvez soit naviguer à l’intérieur du site, soit aller sur celui de l’Association. J’ai posté beaucoup d’articles scientifiques concernant la déshydratation sur ce site ainsi que beaucoup d’autres informations dont tout le monde peut bénéficier gratuitement.
Mike : Je tiens vraiment à applaudir ce que j’appellerais votre curiosité scientifique. Je pense qu’il s’agit d’une qualité qui a vraiment disparu de la majeure partie de la médecine occidentale, une qualité qui amène un véritable scientifique à observer la nature ainsi que l’interaction entre les hommes et la nature, à rester curieux, à garder l’esprit ouvert et enfin à formuler ses conclusions à l’issue d’une rigoureuse phase de test et je pense qu’il y a une bonne partie de la science moderne qui n’a pas su garder un tel esprit ouvert et qui de ce fait a été amenée à tirer des conclusions erronées.
Dr. B. : Oui, une des pires conclusions concerne le SIDA. Parce que tout le monde assume que le SIDA est une maladie virale, ce qui était une déclaration frauduleuse de la part des gens qui l’ont énoncée car le corps humain a été amené à se défendre durant de très nombreuses années contre les maladies virales et il y a survécu. La variole, la polio, la rougeole et un certain nombre d’autres virus sont capables de tuer rapidement et le corps a élaboré tout un système de défense contre ces virus redoutables. Ayant survécu à ce genre de virus, comment serait-il possible qu’un virus lent comme le SIDA puisse le tuer ? C’est incompréhensible pour moi.
J’ai étudié ce sujet de manière exhaustive et j’ai montré que le SIDA est un problème métabolique, c'est-à-dire que le corps commence à cannibaliser son propre tissu parce que certains éléments sont manquants dans la matière première brute qu’il reçoit par apport de nourriture et de boissons. Ainsi le corps d’une personne atteinte du SIDA présente une pénurie de bon nombre d’acides aminés indispensables de base. Il manque de tyrosine, de cystéine, d’histidine alors que les autres acides aminés sont en excès. Donc comment peut-on s’attendre à ce qu’un corps qui dépend des autres aminoacides puisse survivre ?
Mike : Une fois de plus, nous voyons que le SIDA est un gros marché pour l’industrie pharmaceutique.
Dr. B. : Bien entendu l’existence entière de l’industrie pharmaceutique est basée sur la présentation et le marketing d’une fausse science qu’elle cherche à faire rentrer dans le crâne de personnes crédules n’ayant pas la curiosité nécessaire pour trouver de quoi il retourne réellement.
Cholestérol
Dr. B. : Un autre exemple de fausse science est la question du cholestérol. Il s’agit là d’un des éléments les plus indispensables dans le corps humain. Quand le corps commence à fabriquer davantage de cholestérol, il a une bonne raison de le faire. Ce n’est certainement pas dans le but d’obstruer les artères cardiaques. Le taux de cholestérol est mesuré à partir de sang prélevé dans les veines et nulle part dans l’histoire de la médecine ne trouve-t-on trace d’un seul cas de cholestérol ayant jamais obstrué les veines du corps.
Donc, ce n’est pas la viscosité du cholestérol qui est le problème comme le martèle l’industrie pharmaceutique : « le cholestérol est visqueux, réduisez le sinon vous aurez les artères obstruées », ce qui est un non sens complet. En fait le cholestérol sauve la vie des gens car c’est un bandage étanche conçu par le corps. Quand le sang devient concentré et acide et qu’il est propulsé au travers d’artères ou de capillaires réduits, en déshydratation, alors des écorchures et des déchirures se produisent au niveau du système artériel et en premier lieu dans les capillaires du coeur.
Si le cholestérol n’était pas là pour recouvrir ces écorchures et déchirures, le sang irait alors sous la membrane et la décomposerait, la personne mourrait sur le champ.
Le cholestérol est en fait un dispositif temporaire de survie qui donne au corps le temps de récupérer. Ceci n’a jamais été compris. Nous fonctionnons trop à partir de réflexes. Si quelque chose est en quantité trop importante, nous le diminuons, si c’est trop bas, nous l’augmentons. Nous ne nous posons pas la question de savoir pourquoi c’est trop élevé ou trop bas.
Mike : Et les compagnies pharmaceutiques savent très bien qu’il s’agit d’un marché énorme…
Dr. B. : Il s’agit d’un marché de 10 milliards de dollars. Il existe un compte rendu qui indique que les statines, les médicaments qui diminuent le taux de cholestérol, entrainent de l’amnésie. En d’autres termes, le cerveau perd complètement la trace de ce qu’il est en train de faire et ceci a été publié par un éminent docteur, chirurgien et chercheur à la NASA. Il sait de quoi il parle car il a eu lui-même le problème.
Mike : Je voudrais simplement rappeler qu’un nombre important d’effets secondaires dus aux statines a été observé. Certaines personnes souffrent de douleurs musculaires très importantes, l’amnésie dont vous parliez semble en effet être aussi très répandue et, ce matin encore, j’ai vu une étude qui mentionne le fait que les myrtilles contiennent des phytonutriments qui ont le pouvoir de diminuer le cholestérol dit gras, LDL cholestérol, de façon bien plus importante que les médicament à base de statines.
Dr. B. : C’est intéressant parce que, voyez-vous, en cas de situation urgente le corps augmente son niveau de production de cholestérol. Le taux normal de production lui sert à créer des membranes pour les cellules, notamment celles du cerveau ainsi qu’à l’isolation des nerfs et bien entendu à fabriquer les hormones du corps et la vitamine D. Il s’agit là de composants essentiels pour le corps. Nous ne devrions jamais interférer avec le cholestérol sans savoir pour quelle raison le corps en a élevé son niveau de production.
Pas de substitut pour l’eau
Mike : J’ai une question pour vous concernant l’eau -- beaucoup de gens pensent qu’ils s’hydratent quand ils consomment des boissons non alcoolisées, du lait, du « Gatorade » ou autres boissons de ce genre.
Dr. B. : « Gatorade » est peut-être passable mais ça contient du sucre et ce n’est pas particulièrement bon pour les gens qui peuvent même se retrouver en état d’hypoglycémie ou cela peut induire la production d’insuline, ce qui donne faim et du coup les gens mangent trop. Mais comme boisson de sport occasionnelle, c’est probablement OK. Si vous êtes au beau milieu d’un tournoi de golf, boire une bouteille de « Gatorade » vous donne immédiatement un peu des minéraux que vous avez probablement perdus en transpirant.
Mais rien ne remplace l’eau - absolument rien. Aucune boisson - pas le café, ni le thé, ni les boissons alcoolisées. Même pas les jus de fruits. Chacun d’entre eux a son propre programme chimique dans le corps. Ce dernier est habitué à un fluide qui n’a pas de programme, et le corps dépend de la liberté d’action du fluide qu’est l’eau. Cela vient du fait qu’il existe deux sortes d’eau dans le corps. Il y a de l’eau qui est déjà occupée à faire quelque chose, déjà engagée dans une action et donc qui n’est pas disponible pour assumer une nouvelle fonction. Le corps a besoin d’eau fraîche pour exécuter de nouvelles tâches. Lorsqu’on lui fournit des boissons sucrées ou caféinées, il subit un échec par rapport au fait d’obtenir de l’eau car le sucre et la caféine ont leur propre programme et ne peuvent la remplacer.
Mike : Vous parlez aussi des boissons non-alcoolisées ici ?
Dr. B. : Oui, les sodas, le café ou le thé contenant de la caféine. Je parle aussi de l’alcool car celui-ci stoppe les systèmes de fourniture d’eau en urgence aux cellules importantes comme celles du cerveau. Dans le procédé de l’osmose inverse, le corps filtre et injecte de l’eau dans les cellules, c’est cela que j’appelle osmose inverse. Il faut pour cela augmenter la pression sanguine afin de surmonter la traction osmotique de l’eau vers l’extérieur des cellules et pouvoir alors réinjecter de l’eau dans celles-ci. C’est pour cela que nous développons une pression sanguine élevée dans la déshydratation. Ce procédé d’osmose inverse est stoppé par l’alcool qui bloque le système de filtre.
Maladie chronique due à un manque d’eau
Mike : Permettez-moi de démarrer cette nouvelle section en vous demandant quelle est la corrélation entre la consommation d’eau et la maladie chronique. Il existe de nombreuses maladies chroniques dont vous dites dans votre livre qu’elles sont reliées à la déshydratation. Je me demandais si vous pouviez donner à nos lecteurs un aperçu de ce que sont ces maladies chroniques et de la façon dont elles sont aggravées voire déclenchées par une déshydratation chronique.
Dr. B. : Certainement. J’ai écrit un livre intitulé : « L’eau guérit et les médicaments tuent ». C’est un livre qui explique d’une part pourquoi la déshydratation est la cause de la douleur et de la maladie et d’autre part comment l’industrie pharmaceutique a camouflé cette information, l’a occulté et a fait de la publicité pour l’utilisation de ses produits, qui en réalité sont nocifs, au lieu de laisser les gens boire de l’eau. Des chiffres récents montrent que la prescription de médicaments et leur utilisation, conformément aux recommandations des médecins, ont tué 106 000 personnes et qu’environ deux millions de personnes se trouvent bien plus malades qu’avant de prendre ces médicaments. Puis il y a aussi un autre groupe qui meurt du fait de prescriptions défectueuses, fautives. Donc, entre les deux, cela fait 205 000 personnes qui meurent de problèmes reliés aux médicaments et aux prescriptions. Cela fait de l’utilisation des médicaments la troisième cause de mortalité dans ce pays - une cause de mortalité protégée et autorisée. Donc, après les maladies cardiaques qui tuent environ 700 ou 800 000 personnes, le cancer qui en tue 500 000, les médicaments tuent 205 000 personnes.
Mike : Donc il semble pertinent de dire que l’industrie pharmaceutique, telle que développée par la médecine moderne, est la troisième cause de décès dans ce pays.
Dr. B. : Absolument, et ces médicaments ne servent à rien car la plupart sont utilisés pour cacher divers symptômes, signes et autres complications liés à la déshydratation du corps. Le corps humain manifeste sa déshydratation par une série de symptômes et de signes perceptibles - en d’autres mots, le cerveau ressent la déshydratation ou la fatigue quand vous n’avez pas fait une bonne journée de travail. Si la première chose qui vous arrive le matin est que vous vous sentez fatigué et que vous n’arrivez pas à vous sortir du lit - c’est un signe de déshydratation.
Ensuite la colère, les réactions vives, la dépression, sont aussi des signes de déshydratation et indiquent que le cerveau a très peu d'énergie hydroélectrique pour analyser les situations et/ou déclencher des actions. Voila certains des signes perceptibles de la déshydratation. De plus le corps a son programme de gestion de la pénurie d'eau avec les allergies, l'hypertension, le diabète et également les maladies immunitaires.
Le lien entre la déshydratation et l'asthme
Mike : Je voudrais développer un peu plus la question de l'asthme notamment l'idée que le corps gère son approvisionnement en eau de façon délibérée et qu’il peut découler de cela la production de symptômes appelés asthme.
Dr. B. : Voyez-vous, le système de gestion de la pénurie d'eau inclut le fait de boucher les trous par lesquels l'eau s’échappe du corps. L'eau est le bien le plus précieux à l'intérieur du corps. Donc quand il n'y en a pas assez qui entre et trop en train de se perdre, votre corps ne va pas accepter une telle situation sans réagir.
La conception intelligente du corps fait qu’un système de gestion de la pénurie d'eau va alors se mettre en route. En contrôlant l'équilibre en eau au sein de l'organisme, ce système va alors opprimer le système immunitaire car ce dernier consomme de l'énergie. Cela déclenche de l'asthme. Nous perdons environ un quart de litre d'eau chaque jour du fait de la respiration. Il est donc nécessaire de se réapprovisionner. Lorsque ce n’est pas le cas, le corps resserre les bronches et bouche alors les trous. Nous appelons asthme le flux d’air réduit dans les poumons du fait de la déshydratation.
Mike : D’accord. J’ai toujours été stupéfié par cette volonté délibérée de la médecine moderne ou de la médecine occidentale à donner des étiquettes ou des noms compliqués à des maladies qui devraient porter des noms plus simples.
Dr. B. : Propager son jargon est propre à la médecine commerciale. Tout ce système de santé survit et prospère en faisant rentrer leurs jargons dans la tête des gens. Les gens ne les comprennent pas et n’arrivent pas à les associer avec ce qui se passe dans le corps mais ils les associent avec quelque chose qui fait peur car c’est ce qu’on leur rabâche sans arrêt.
En ce qui concerne les enfants, il y a 17 millions d’enfants en Amérique, et ce nombre est en constante augmentation, qui ont de l’asthme. La raison en est que les enfants consomment de plus en plus de sodas. Des enfants de 3 à 5 ans ont consommé 3 fois plus de sodas ces dix dernières années que les dix dernières années précédentes. Ces enfants sont en train de se déshydrater, ils consomment davantage de sodas et, ceux-ci ne fonctionnant pas de la même façon que l’eau, ils se retrouvent avec de l’asthme. Si on donne de l’eau à ces enfants, leur asthme va disparaître très rapidement en quelques heures et leur respiration va redevenir normale. Le besoin d’inhalateurs va disparaître.
Quand j’ai contacté le NIH et que je leur ai expliqué tout ceci, la personne en charge a déclaré qu’en fait j’étais complètement ignorant car elle cherchait à protéger sa liberté d’agir à sa guise et a donc ignoré cette information quand bien même j’en avais appelé au Président Bill Clinton pour lui demander d’intervenir et de redonner leur respiration aux enfants. Mais le NIH était inflexible par rapport à la nécessité d’utiliser des médicaments. Le
président m’a écrit pour me dire qu’il était satisfait de la façon dont l’asthme était traité dans ce pays. Pourtant 17 millions d’enfants en Amérique pourraient recouvrer leur respiration en l’affaire de quelques jours si chacun dans le pays parlait aux personnes asthmatiques et leur disait que l’eau est la chose qu’ils devraient consommer. Peut-on imaginer une solution plus simple que celle-là ?
Mike : Oui, je vois. Il existe de nombreuses solutions de ce genre qui permettent de traiter un grand nombre de maladies chroniques, comme celle que vous venez juste de nous décrire. Bien entendu, l’industrie pharmaceutique serait horrifiée de voir cette information se répandre.
Dr. B. : Oui parce que ce dont je parle va complètement à l’encontre de leur business et il s’agit là d’un marché de plusieurs milliards de dollars au minimum.
Traiter l’hypertension avec l’eau
Mike : Pour l’industrie pharmaceutique, l’existence de la maladie est une question de business, il s’agit là d’une industrie qui cherche à faire des profits. Les profits avant tout et, du moins c’est mon opinion et vous semblez la partager, toute thérapie qui entre en compétition avec ces profits se retrouve minimisée, marginalisée ou carrément attaquée.
Dr. B. : Oui, récemment il y avait une publicité à la télévision. C’était intéressant - je n’ai pas réalisé dès le début mais je vois maintenant que la publicité me parlait à moi. En d’autres mots, il s’agissait d’une publicité contre mes déclarations. Parce que j’ai dit que les brûlures d’estomac étaient un symptôme de déshydratation du corps humain et qu’il fallait boire de l’eau. Le gars se pointait au comptoir et disait : « Donnez-moi un verre d’eau s’il vous plait, j’ai des brûlures d’estomac qui me font souffrir » ou quelque chose du genre. Et la dame derrière le comptoir lui répliquait, « l’eau ne guérit pas les brûlures d’estomac mais ce médicament le fera ». Voila comment l’industrie pharmaceutique combat l’information que j’ai publiée.
Mike : On dirait qu’il y a deux groupes de personnes différentes aux États Unis. Ceux qui dépendent de l’industrie pharmaceutique pour traiter chaque symptôme et qui modifient par là même la chimie de leur corps et de leur cerveau du fait des médicaments, et ceux qui s’éduquent eux-mêmes au sujet des causes réelles de la santé. Ces derniers boivent de l’eau, ils évitent les additifs dans la nourriture, ils pratiquent de l’exercice - il semble que l’abîme entre ces deux groupes ne cesse de s’élargir.
Dr. B. : Absolument. C’est pourquoi la médecine alternative prend de l’ampleur et que de plus en plus de gens se réfèrent à la médecine alternative plutôt qu’à la médecine conventionnelle. J’ai vendu plus de 600 000 exemplaires du livre Votre corps réclame de l’eau au cours des dix dernières années. J’ai réalisé plusieurs milliers d’interviews à la radio pendant cette période. L’information a été mise entre les mains du public et c’est la raison pour laquelle l’industrie pharmaceutique doit augmenter sa publicité de façon à invalider l’information que j’ai publiée. Voila la raison de l’annonce publicitaire dont j’ai parlé plus haut, une annonce parmi bien
d’autres.
Bon, nous parlions des programmes de gestion de la pénurie d’eau dans le corps. L’hypertension est un autre problème lié à cela. Lorsqu’il n’y a pas assez d’eau dans le corps, que celui-ci se déshydrate, les 2/3 de la perte d’eau proviennent de l’intérieur des cellules. 26% provient de l’environnement autour des cellules et seulement 8% est perdu à partir du système vasculaire. Mais le système vasculaire est un système élastique - il prend en compte le relâchement et se resserre si bien que vous ne pouvez pas voir le problème qui se trouve à l’intérieur des cellules du corps en faisant des tests sanguins. Si les gens buvaient régulièrement de l’eau et prenaient suffisamment de sel et de minéraux pour amplifier les lits capillaires, l’hypertension disparaîtrait totalement.
Il y a 60 millions d’Américains qui ne réalisent pas que l’hypertension est une des manifestations des programmes de gestion de la pénurie d’eau du corps, programmes que le corps met en route lorsqu’il commence à utiliser un procédé d’osmose inverse pour fournir de l’eau à l’intérieur des cellules dès lors que celles-ci présentent une déficience correspondant aux 2/3 de leurs besoins. L’industrie pharmaceutique et les médecins traitent avec arrogance et ignorance l’hypertension en utilisant des diurétiques.
Mike : Débarrassons-nous de l’eau alors !
Dr. B. : Ils se débarrassent de l’eau dans le corps au prix de nombreux efforts, je dois dire.
Mike : N’est-ce pas un exemple de l’arrogance de la médecine moderne de croire qu’elle en sait davantage que la nature, davantage que le corps ?
Dr. B. : Nous, en tant que médecins, nous sommes vraiment commandités par l’industrie pharmaceutique. Nous sommes totalement aveugles et ignorants, l’industrie pharmaceutique a complètement détourné la médecine. Nous apprenons la physiologie en deux ans et dès que nous nous tournons vers l’aspect clinique de la question, on nous demande de l’oublier et nous commençons alors à apprendre la pharmacologie pour traiter les symptômes plutôt que de comprendre la cause première du problème de santé.
Mike : Mais vous-même avez suivi un enseignement classique, conventionnel….
Dr.B. : J’ai du m’éduquer tout seul.
Penser autrement
Mike : Qu’est-ce qui vous a amené à aller explorer les choses au-delà de la pensée limitée de la médecine conventionnelle ?
Dr. B. : Je suis quelqu’un qui a toujours été curieux et ce dès mon plus jeune âge, autant que je me souvienne. Un jour un voleur est rentré dans notre propriété et se tenait sur le mur et moi j’avais seulement deux ans et demi. Je suis allé le voir et je lui ai dit : « Que fais-tu ici ? Ne vois-tu pas que tu effraies tout le monde ici ? Pourquoi ne t’en vas-tu donc pas ? ». Je n’étais pas effrayé, j’étais curieux et je le suis resté tout au long de ma vie et c’est comme cela que j’ai découvert que l’eau guérit la maladie, ce qui m’a amené à me pencher sur la question et à en découvrir la raison derrière le phénomène. J’ai découvert à
ce moment là que mon éducation n’avait pas été bonne. Je n’ai pas appris la médecine, j’ai appris un peu d’anatomie, un peu d’histologie et cela m’a mis en bonne posture pour découvrir le reste de l’histoire.
Mike : il faut vous féliciter, et je suis sûr que les lecteurs seront d’accord avec moi sur ce point, pour vous être aventuré hors des sentiers battus de la médecine conventionnelle.
Dr. B. : Je suis un guérisseur parce que c’est ma façon de penser. Je ne pense pas à l’argent en tant que tel parce que, si vous accomplissez une bonne action, de l’argent va arriver en tant que produit dérivé de cette bonne action.
Mike : Sur ce point là, j’approuve complètement ce que vous dites.
Dr. B. : Vous n’avez pas à sucer jusqu’à la dernière goutte de sang la personne qui vient vers vous pour vous demander de l’aide. Cela va à l’encontre de ma nature. C’est pour cela que j’ai publié cette information sur internet, pour que chacun puisse l’utiliser. Et si j’ai publié des livres et ainsi de suite, c’est uniquement à des fins d’éducation et pour que les gens s’en servent. Cette information a un prix qui correspond aux coûts d’impression et de distribution. Si l’industrie pharmaceutique avait appris qu’elle allait pouvoir vendre l’information contenue dans mon livre Votre corps réclame de l’eau, elle en demanderait 10 000 $ et non pas 14.95 $.
Mike : Et s’ils le pouvaient, ils déposeraient un brevet pour l’eau.
Dr. B. : Oui, ils le feraient.
Mike : Puis ils essaieraient de la vendre 100$ la dose
Dr. B. : Exactement. Donc, pour résumer, c’est ce qui se passe actuellement avec la médecine en Amérique. La douleur articulaire, la douleur dans le dos, l’arthrite sont causées par la déshydratation. Le corps humain envoie aussi des appels d’urgence pour obtenir de l’eau, appels qui sont précisément localisés. Nous les appelons brûlures d’estomac, douleur articulaire rhumatoïde, douleur dorsale, migraines, maux de tête, colite, fibromyalgie, et même les angines - tout cela indique une déshydratation du corps. Le mécanisme est très simple - lorsqu’il n’y a pas suffisamment d’eau pour pouvoir la distribuer de façon homogène, certaines parties du corps se retrouvent en train de fonctionner sans recevoir suffisamment d’eau pour pouvoir traiter leurs rejets toxiques et leur métabolisme, les rejets toxiques s’accumulent alors dans la zone et les terminaisons nerveuses dans cette zone enregistrent ce changement environnemental au niveau du cerveau. Ce dernier interprète ensuite cette information pour le mental conscient et la traduit sous forme de douleur.
Mike : Donc, c’est simplement l’interprétation ?
Dr. B. : Une interprétation, oui. Le mental conscient obtient l’information que la zone en question ne peut plus être utilisée du fait de cette pénurie d’eau. Le mental conscient aurait dû comprendre cela mais une mauvaise éducation nous a privé de cette information. Nous pensons donc que cette douleur est une maladie.
Mike : Le diagnostic qui prévaudrait dans l’esprit de la plupart des gens, en particulier parmi les médecins, serait qu’il y a quelque chose qui est physiquement ou structurellement endommagé dans cette zone.
Dr. B. : Et bien, le dommage est causé par la déshydratation du tissu qui change alors de structure. Les cellules du type « prune » ne fonctionnent pas de la même manière que les cellules du type « pruneau ». C’est ainsi que les symptômes se manifestent. Ils veulent nous dire qu’il faut fournir au système les ingrédients dont il a besoin. Quand nous parlons de déshydratation, il faut aussi prendre en compte que l’eau amène beaucoup de bonnes choses aux cellules. Lorsque le corps est déshydraté, les autres éléments ne sont pas fournis non plus. Donc, il faut non seulement corriger ce problème de déshydratation